jeudi 6 novembre 2008

Amis de la poesie, bonjour...


Poésie du matin - c'est pas du tout chagrin... c'est même plutôt bien ;-)
Dans la serie "je rencontre des gens formidables", je dois vous parler de Oswald Abreu, voisin de table lors d'un petit dejeuner a l'auberge de Cuiaba. Avocat, ecrivain mais aussi poete a ses heures. Apres une lecon de vie, notamment sur sa facon de "traiter les femmes" ( les sentiments sont pour les artistes - la "vraie" vie pour les autres). Il a decide de m'ecrire un poeme sur le champs, la a 7 h00 du matin - les lusophones, apprecieront - je traduis pour les autres...
A vida e passageira
Nao devemos lamentar
O passado devemos jogar momento
Na lixeira
Viver e renovar
O Amor que se foi
Um novo virar
Viver sempre a dois
E o prosperar
Avante, Avante, Guerreiro
Un novo sol va nascer
Ninguem deve ter desespero
Chorar e morrer
Avante guerreiro
A vida e festa
A tristeza nao gusta do sorrir
Vamos rir
Enquanto ha tempo
Viver sobre o momento

La vie est passagere
Nous ne devons pas nous plaindre (lamenter)
Nous devons oublier (jeter) le passe a la poubelle sur le champs
Vivre est recommencer
Un amour s'en va
Un autre arrive
Vivre toujours a deux
c'est prosperer
Avance, avance, soldat (guerrier)
Un nouveau soleil va naitre
Personne ne doit te desespere
Pleurer est mourir
Avance, Soldat
La vie est une fete
La tristesse n'aime pas sourir
Alors rions
A mesure que le temps passe
Vivons seulement l'instant

Oswald ABREU - Cuiaba - 29/10/08

... juste avant de partir dans un eclat de rire bien sonore !